ARIELLE DOMBASLE ET NICOLAS KER : « LA RIVIERE ATLANTIQUE »

Photographe passionné depuis…..fort longtemps, j’ai découvert l’univers festif des concerts il y a quelques années, alliant mes deux passions la photographie et la musique

Il est 19h30, la salle du Café de la Danse se remplie, peu de places assises, le public est debout pour accueillir THOS HENLEY qui assure la 1ère partie.

Ce chanteur de Pop Folk, originaire de Southampton et vivant à Stockholm, nous enchante par ses douces mélodies, chargées à la fois de tristesses, de joies et d’émotions. Il semble vivre intensément sa musique, où le piano occupe une grande part.

Son troisième album « Blonde on Basically Ginger » est sorti me 18 novembre chez Pan European Recording.

Nous sommes ravis de l’avoir entendu, et espérons le revoir très vite sur scène.

C’est au tour du duo Franco-Chilien Caroline CHASPOUL et Eduardo HENRIQUEZ qui forment le groupe « NOVA MATERIA » (Nouvelle Matière), connus depuis une douzaine d’années en Amérique Latine, sous le nom de « PANICO ».

On ne peut pas dire en écoutant les divers commentaires, que la salle est enthousiasme à l’écoute de ce mood board, qui est un mélange de sons dérivés des éléments naturels et industriel. Pierres frottées l’une contre l’autre, tubes de métal suspendus, crissements sur l’acier avec une tige de métal.

Les sons créés nous font penser à l’Amazonie, une certaine communion avec la nature, où différents genres musicaux se rencontrent, beats tropicaux, cold wave, techno.

La transe n’a pas vraiment fonctionné ce soir sur le public.

 

La 3ème partie commence avec l’entrée en scène du duo tant attendu, une Arielle Dombasle pétillante de vitalité, et un Nicolas Ker en grande forme.

Nicolas nous charme avec sa voix de crooner-rockeur, une voix profonde et dramatique à souhait. Arielle avec sa voix aérienne et subtile est son opposée, telle le Ying et le Yang, une mélancolie noire et un glamour solaire.

Ils nous font vivre une histoire mystérieuse où se côtoient la rêverie, du dramatique, de l’onirique.

La présence très forte à leur coté de Henri Graetz virtuose au violon est une sortie de lien qui les unis, une sorte de fil rouge.

Leur album « La Rivière Atlantique » fruit de trois ans de collaboration, est paru le 14 octobre 2016 chez Pan European Recording. Nicolas a écrit les textes et composé la musique.

Le public a été quelque peu désappointé lorsque au final un simple au revoir a mis un terme au concert.

Laisser un commentaire