Un samedi au Chorus des Hauts-de-Seine

Photographe de concerts et de spectacles en général. Plutôt électro, pop, rock et jazz.
Intérêt également pour la photographie d'architecture, le corporate, le reportage et l'événementiel : http://www.flosortelle.com

Cette année, le festival Chorus des Hauts-de-Seine a eu lieu à La Défense en semaine et à la nouvelle Seine Musicale sur l’Ile Seguin à Boulogne le week end des 25 et 26 novembre.

Nous nous sommes rendus dans ce nouveau complexe dédié à la musique le samedi 25 pour assister au concert de Tim Dup dans la petite salle RIFFX et au concert de Gregory Porter sur la Grande Seine.

Tout d’abord Tim Dup la jeune révélation de cette rentrée.
Tim Dup est auteur, compositeur, interprète, il vient de sortir son tout premier album “Mélancolie heureuse” à la fois pop, électro et des textes en français qui racontent la vie, les angoisses et les espoirs d’un jeune homme de 22 ans.  C’est ce qu’il nous a fait découvrir, seul,  pendant son concert, en plus de titres de son 1er EP “Vers les ourses polaires”. Plutôt bavard entre les chansons, il réussira à emporter la salle avec lui par sa sympathie, sa spontanéité et son talent. Il terminera ce set avec un titre touchant inspiré des récents attentats, titre qui ne figure d’ailleurs pas sur l’album.

Ensuite rendez-vous sur la Grande Seine avec Gregory Porter. Chanteur, auteur-compositeur américain, il est influencé par la musique soul de Marvin Gaye et par le jazz de Nat King Cole.

C’est à ce dernier qu’il a rendu hommage avec le Paris Symphonic Orchestra dirigé par Vince Mendoza. Il vient d’ailleurs de sortir un album intitulé Nat King Cole & Me.

Il a ainsi pendant 1 heure revisité quelques standards classiques parmi les titres les plus connus de Nat King Cole : Quizás Quizás Quizás pour commencer, Mona Liza, I wonder who my daddy is, une de ses compositions rendant hommage à Nat King Cole… et terminera cette prestation magistrale avec le sublime Smile.

Un moment de grâce entre la puissance vocale et majestueuse de ce crooner et la magie d’un vrai orchestre symphonique.

 

 

Laisser un commentaire