Roger Hodgson à l’Olympia, « Something Never Change ».

Roger Hodgson cʼest la voix aigüe et lʼauteur de la majeure partie des tubes de Supertramp, le groupe aux 60 millions dʼalbums vendus dans le monde, qui fut lʼun des groupes de rock progressif (Yes, King Crimson, Genesis, Pink Floyd, Jethro Tull et Emerson, Lake and Palmer) les plus importants des années 70-80.

Qui nʼa pas entendu au moins une fois les morceaux des albums « Breakfast in America » sorti en 1979 ou encore « Crime Of The Century » et « Even In The Quietest Moment » sortie respectivement en 1974 et 1977 ?

Cʼétait la grande époque des vinyles et des cassettes audio à bandes. Lʼessentiel de ces chansons ont été écrite par Roger Hodgson. Comme le dit le magazine « Rolling Stone » je pensais être fan de Supertramp mais en fait jʼétais fan de Roger Hodgson. Roger Hodgson et Rick Davis ont composé les principaux morceaux de la BOF qui accompagna ma jeunesse aux intros soignées et aux accords plaqués comme dans « Even In The Quietest Moment ».

Roger Hodgson cʼest une voix reconnaissable entre toutes, perchée dans les aigües. Ce musicien né en 1950 en Angleterre a commencé à composer à lʼage de 12 ans.

Il recevra dans les prochains jours les « Insignes Des Arts Et Lettres » une haute distinction en France pour les artistes.

LʼOlympia est une salle à lʼatmosphère feutrée, les spectateurs sont accompagnés jusquʼa leur place par des ouvreuses « à lʼancienne » qui éclairent les recoins sombres des escaliers et des rangs de sièges. Lentement la salle sʼest remplie de personnes plutôt âgées. Certainement des Fans nostalgiques, comme moi, des années 70-80 et de la musique de Supertramp. La décoration de la scène était composé dʼune rangée de palmier, on était à Venice Beach en Californie et il ne manquait plus que la musique et la voix de Roger Hodgson pour faire vrombir la moteur de la Ford Mustang et pour commencer un « cruising » cheveux au vent.

Les endroits ou allait se placer Roger Hodgson étaient matérialisés par des tapis de laine. Roger Hodgson arriva sur scène vêtu dʼun super costume blanc aux plis impeccables porté sur une chemise hawaïenne. Aux pieds il avait chaussé ses incontournables chaussures blanches. La salle avait été chauffée par une personne qui avait indiqué que Roger Hodgson allait recevoir les insignes des arts et lettres mardi prochain. Cʼest sur des acclamations que Roger Hodgson sʼinstalla devant son synthé face au public. Derrière lui étaient rangées 2 guitares et un piano à queue.

Cʼest « The Logical Song » de lʼalbum Breakfast In America sorti en 1979 et son intro au synthé si particulière avec la voix de Roger Hodgson qui entonne « When I was young, it seemed that life was so wonderful, A miracle, oh it was beautiful, magical, And all the birds in the trees, well they’d be singing so happily, Oh joyfully, playfully watching me.

Nostalgie quand tu nous prends, les images dʼune vie passée nous reviennent.

A la fin du morceau Roger Hodgson pris la parole en français s’il vous plait alors qu’il choisissait une guitare. Il s’installa devant le micro au milieu de la scène. Il demanda au public d’oublier ses soucis pendant les 2 heures du concert.

Puis c’est « School » de lʼalbum « Crime Of The Century » sorti en 1974 qu’interpréta Roger Hodgson à la guitare avec son intro à lʼharmonica et cette envolée au piano juste avant les paroles « Don’t do this and don’t do that, What are they triying to do ? – make a good boy of you, Don’t they know where it’s at ?» à la moitié du morceau.

Ensuite ce fut « Breakfast In America » tiré de lʼalbum du même nom qui est une critique de l’Amérique et du rêve américain. Breakfast in America s’est vendu à 16 millions d’exemplaires à travers le monde rien que durant l’année 1980. Cʼest donc un Must à avoir dans sa discothèque.

Cʼest au travers des portes fermées que jʼai entendu les premières mesures de « Easy Does It » qui sera enchainé avec « Sister Mooonshine » de lʼalbum « Crisis ? What Crisis ? » sorti en 1975.

Puis ce sera, comme le mentionne la playlist « Hide in Your Shell », « Along came Mary » et le concert à du se terminer sur « Give A Little Beat » et « Itʼs Raining Again »

Quand la musique est bonne, elle est éternelle ! http://www.rogerhodgson.com/

Setlist :

#1 – Take The Long Way Home

#2 – School

#3 – Lovers In The Wind

#4 – Breakfast In America

#5 – Lady

#6- Along

#7 – Came Mary

#8 – The Logical Song

#9 – Lord Is It Mine ?

#10 – Death & The Zoo

#11 – Even In The Quietest Moments

#12 – Had A Dream (Sleeping With The Enemy)

#13 – Child Of Vision

#14 – Dreamer

#15 – Fool’s Overture

#16 – Give A Little Bit

#17 – It’s Raining Again

Musiciens du Band

Aaron McDonald (Saxophone, clarinette, Mélodica, claviers et voix)

Kevin Adamson (claviers et voix)

Ian Stewart (Basse et voix)

Brian Head (Batterie et diverses percussions)

Roger Hodgson cʼest la voix aigüe et lʼauteur de la majeure partie des tubes de Supertramp, le groupe aux 60 millions dʼalbums vendus dans le monde, qui fut lʼun des groupes de rock progressif (Yes, King Crimson, Genesis, Pink Floyd, Jethro Tull et Emerson, Lake and Palmer) les plus importants des années 70-80.

Qui nʼa pas entendu au moins une fois les morceaux des albums « Breakfast in America » sorti en 1979 ou encore « Crime Of The Century » et « Even In The Quietest Moment » sortie respectivement en 1974 et 1977 ?

Cʼétait la grande époque des vinyles et des cassettes audio à bandes. Lʼessentiel de ces chansons ont été écrite par Roger Hodgson. Comme le dit le magazine « Rolling Stone » je pensais être fan de Supertramp mais en fait jʼétais fan de Roger Hodgson. Roger Hodgson et Rick Davis ont composé les principaux morceaux de la BOF qui accompagna ma jeunesse aux intros soignées et aux accords plaqués comme dans « Even In The Quietest Moment ».

Roger Hodgson cʼest une voix reconnaissable entre toutes, perchée dans les aigües. Ce musicien né en 1950 en Angleterre a commencé à composer à lʼage de 12 ans.

Il recevra dans les prochains jours les « Insignes Des Arts Et Lettres » une haute distinction en France pour les artistes.

LʼOlympia est une salle à lʼatmosphère feutrée, les spectateurs sont accompagnés jusquʼa leur place par des ouvreuses « à lʼancienne » qui éclairent les recoins sombres des escaliers et des rangs de sièges. Lentement la salle sʼest remplie de personnes plutôt âgées. Certainement des Fans nostalgiques, comme moi, des années 70-80 et de la musique de Supertramp. La décoration de la scène était composé dʼune rangée de palmier, on était à Venice Beach en Californie et il ne manquait plus que la musique et la voix de Roger Hodgson pour faire vrombir la moteur de la Ford Mustang et pour commencer un « cruising » cheveux au vent.

Les endroits ou allait se placer Roger Hodgson étaient matérialisés par des tapis de laine. Roger Hodgson arriva sur scène vêtu dʼun super costume blanc aux plis impeccables porté sur une chemise hawaïenne. Aux pieds il avait chaussé ses incontournables chaussures blanches. La salle avait été chauffée par une personne qui avait indiqué que Roger Hodgson allait recevoir les insignes des arts et lettres mardi prochain. Cʼest sur des acclamations que Roger Hodgson sʼinstalla devant son synthé face au public. Derrière lui étaient rangées 2 guitares et un piano à queue.

Cʼest « The Logical Song » de lʼalbum Breakfast In America sorti en 1979 et son intro au synthé si particulière avec la voix de Roger Hodgson qui entonne « When I was young, it seemed that life was so wonderful, A miracle, oh it was beautiful, magical, And all the birds in the trees, well they’d be singing so happily, Oh joyfully, playfully watching me.

Nostalgie quand tu nous prends, les images dʼune vie passée nous reviennent.

A la fin du morceau Roger Hodgson pris la parole en français s’il vous plait alors qu’il choisissait une guitare. Il s’installa devant le micro au milieu de la scène. Il demanda au public d’oublier ses soucis pendant les 2 heures du concert.

Puis c’est « School » de lʼalbum « Crime Of The Century » sorti en 1974 qu’interpréta Roger Hodgson à la guitare avec son intro à lʼharmonica et cette envolée au piano juste avant les paroles « Don’t do this and don’t do that, What are they triying to do ? – make a good boy of you, Don’t they know where it’s at ?» à la moitié du morceau.

Ensuite ce fut « Breakfast In America » tiré de lʼalbum du même nom qui est une critique de l’Amérique et du rêve américain. Breakfast in America s’est vendu à 16 millions d’exemplaires à travers le monde rien que durant l’année 1980. Cʼest donc un Must à avoir dans sa discothèque.

Cʼest au travers des portes fermées que jʼai entendu les premières mesures de « Easy Does It » qui sera enchainé avec « Sister Mooonshine » de lʼalbum « Crisis ? What Crisis ? » sorti en 1975.

Puis ce sera, comme le mentionne la playlist « Hide in Your Shell », « Along came Mary » et le concert à du se terminer sur « Give A Little Beat » et « Itʼs Raining Again »

Quand la musique est bonne, elle est éternelle ! http://www.rogerhodgson.com/

Setlist :

#1 – Take The Long Way Home

#2 – School

#3 – Lovers In The Wind

#4 – Breakfast In America

#5 – Lady

#6- Along

#7 – Came Mary

#8 – The Logical Song

#9 – Lord Is It Mine ?

#10 – Death & The Zoo

#11 – Even In The Quietest Moments

#12 – Had A Dream (Sleeping With The Enemy)

#13 – Child Of Vision

#14 – Dreamer

#15 – Fool’s Overture

#16 – Give A Little Bit

#17 – It’s Raining Again

Musiciens du Band

Aaron McDonald (Saxophone, clarinette, Mélodica, claviers et voix)

Kevin Adamson (claviers et voix)

Ian Stewart (Basse et voix)

Brian Head (Batterie et diverses percussions)

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2 commentaires

  1. Les musiciens indiqués ne sont pas les bons hormis le batteur, c’est les musiciens qui ont fait les 1ères tournées et/ou jusqu’à 2017 comme Kevin Adamson et Aaron MacDonald que l’on peut entendre sur Classics Live 1 (ils sont crédités au dos de la boite du CD), qui ont été remplacé à partir de 2018 par Michael Geghan de New York et Ray Cobhurn de Toronto au Canada. Et Ian Stewart n’était déjà plus le bassiste de Roger en juillet 2012, c’est David J.Carpenter de LA, California (comme le batteur Bryan Head) au moins depuis 2012. Jusqu’à début 2010, c’était Jesse Siebenberg qui est ensuite parti faire la tournée “70-10 Tour” de Supertramp avec son père. Puis donc Ian Stewart de 2010 à…2011?

  2. Je n’ai pas reconnu Kevin Adamson sur les photos (ni au concert alors que je n’étais pas loin)
    C’est bien lui au clavier ?

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