Lollapalooza Jour 1: 22 juillet 2017

En ce week-end finalement pas si catastrophique que cela niveau météo, direction l’Hippodrome de Longchamp qui accueille habituellement Solidays pour le fameux festival Lollapalloza qui se déroule sur 2 jours.

Ce festival s’annonce en effet fameux et sera juste grandiose mais au vue de toutes les têtes d’affiche présente rien d’étonnant à cela. En effet sur ses 2 jours, il y aura les Red Hot Chili Peppers, Imagine Dragons, The Hives, London Grammar, Liam Gallagher, Pixies, Lana Del Rey et bien d’autres ….

Au milieu du festival trône une Tour Eiffel, histoire de bien marqué le coup et d’être bien sûr d’être à Paris. Plus sérieusement ce petit clin d’oeil est bien sympatique surtout à la tombée de la nuit avec Lollapalooza inscrit dessus, de toute beauté.

 

Une affiche qui fait saliver et qui rassemblera plus de 110 000 festivaliers dont une bonne moitié de public étrangers.

C’est la 1ère fois que se joue sur Paris ce festival dont l’organisateur n’est autre que Live Nation.

 

Cette 1ère journée débutera pour moi par Max Jury. Le jeune auteur compositeur américain a la lourde tâche d’ouvrir les festivités sur la main stage 2 dès 12h45. Il n’y a pas encore énormément de foule mais cela commence à se remplir. C’est avec ses ballades inspirées de musique folk et country que le jeune homme nous accompagnera pendant sont set de 45 min.

Viens ensuite le tour de Jeremy Loops sur la main stage 1. J’avoue que ce jeune artiste originaire de Cape Town en Afrique du Sud a été pour moi un véritable coup de cœur. Il n’est évidement pas sans me rappeler John Butler physiquement. Sur scène il se donne à fond et on ressent fortement l’alchimie qu’il y a entre ses musiciens et lui-même. Sa musique folk semble faire son effet auprès du public dont certains connaissent certains titres par cœur. Ses titres sont très enjoués et entrainant. Il joue aussi bien accompagné de sa guitare que de son harmonica. Ce qui est sûr c’est qu’on espère vivement qu’il aura su séduire le plus grand nombre afin de revenir très rapidement en France.

 

Retour sur la main stage 2 pour Bear’s Den, groupe londonien venu nous jouer les morceaux issues de ses 2 albums. Leur musique indie-folk, country et au sonorité pop ou electro ne nous laisse pas nous ennuyer tant leur musique est variée et entrainante. Encore un bon moment en leur compagnie.

Lemaitre arrive tant bien que mal sur la main stage 1 avec 20 bonnes minutes de retard et donc un set réduit de moitié. Les pauvres auront enchainé les problèmes techniques, du coup entre les changements de titres à la dernière minute ou les titres arrêté avant la fin cela n’aura pas été évident pour eux. Mais le duo norvégien aura tout de même gardé le sourire et assuré le show entre électro et po. Ils finiront par leur tube “Closer” qui permettra de rester sur une très belle note.

Les allemands Milky Chance sont très attendu sur la main stage 2. Ave sa voix très particulière et reconnaissable c’est avec une force tranquille qu’il assure la show en toute décontraction. Le public est ravi d’être présent, lui semble un peu moins expressif mais cela n’enlève rien du tout à ce super bon moment. “Stolen Dance” en fin de show fait évidement son effet et fait chanter la foule présente venue les voir.

Un peu plus tard sur cette même scène les suédois The Hives envahissent la scène attendu par une foule devenu très compact et nombreuse. Que l’on aime ou pas leur musique ces mecs sont vraiment à voir sur scène. Ils jouent énormément avec le public et à regarder c’est un régal. Howlin Pelle Almqvist est ses acolytes font le show et on en redemande. Les Dandy dans leur costume noir et blanc sont vraiment très classe mais cela ne les empêche en rien de mettre le feu et ça ils savent faire y a pas à dire. Ils jouent et échangent beaucoup avec le public et de dire que chaque personne fait parti de The Hives. Ils vont d’ailleurs demandés ici et là les prénoms et lieu d’habitat de quelques personnes au hasard dont le cameraman surpris et ravi. Le plat de résistance “Tick Tick Boom” met comme à son habitude le public dans un état de pure folie et c’est vraiment très très bon. Avec eux, on est sûr de passer un très bon moment.

Petit tour sur la scène main stage 1 pour The Roots venant interprété leur hip hop, mélangeant rap, funk et soul accompagné de cor, trompette et saxophone. Ils font le show et les fans sont bien présents.

Mon dernier concert de cette journée sera pour moi LE CONCERT. C’est sur la main stage 2 qu’Imagine Dragons débarquent pour un show d’1h30 autant dire la durée d’un vrai concert à peu de choses prêt.

Je risque de ne pas être très objective, mais ce groupe n’est qu’amour pour moi. C’est avec “Thunder” que le show débute et le ton est donné, cela va être explosif. Leur dernier et 3ème album (Evolve) est une véritable pépite avec que des tubes en puissance fait pour se déchainer et se déhancher. Dan Reynolds le chanteur accompagné des 3 autres membres du groupe à un sourire plus que communicatif. Le public reprend en chœur les titres qui sont tous des tubes et les émotions sont vraiment très fortes. Certaines éclatent en sanglots en entendant leur titre préféré.

“Rise Up” met également le feu et le public se donne à fond sachant que c’est le seul passage du groupe en France.

Ayant Craqué son pantalon à l’entrejambe, Dan Reynolds fera la chanson “I don’t know why” en boxer, et ce pour le grand plaisir de ces dames, il se rhabillera malheureusement d’un bermuda en ayant malgré tout essayé de convaincre Wayne Sermon (guitare) de se déshabiller également mais celui de rétorquer que personne ne voulait voir cela.

Il dédicacera le titre “Demons” à Chester Bennington, chanteur de Linkin Park, décédé le 20 juillet dernier.

Il finira le show par “Believer” sur lequel des milliers de pacotille seront jetés sur le public et “Radioactive”.

C’était pour moi la tête d’affiche de ce festival (même si il y avait énormément d’autres “monstres” de la musique)

N’ayant pu assister à The Week-end avec regret cela aura été pour moi le dernier show de cette très très belle journée.

 

 

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