Royal Republic au Trabendo

C’est un concert très attendu qui a lieu ce soir au Trabendo qui joue à guichet fermé : Royal Republic.

Mais avant de pouvoir les voir, nous allons devoir patienter car il y aura deux 1ère partie.

C’est The Whools qui ouvrira les festivités à 19h30, 4 mecs bien dynamique qui mettent rapidement le trabendo dans l’ambiance.
Un couac technique de mi-parcours auraient pu faire retomber l’atmosphère mais pas du tout dès la reprise le public est bien présent et apprécie grandement. Un set d’une demi heure qui sera passé très vite.

Puis viens Tim Vantol à 20h15, seul avec sa guitare. En plus d’être très charmant, le jeune homme à la voix cassée / rocailleuse ce qui continue de laisser le public dans une ambiance très chaleureuse.
Il fait chanter le public a plusieurs reprises qui se laisse embarquer avec plaisir dans sa pop/rock très enjouée.
Avec humour, il nous dit qu’effectivement on doit se demander ce que fait un chanteur avec une guitare acoustique à un concert de rock ? Hé bien il n’a pas non plus la réponse.
C’est son anniversaire et il est très heureux de le passer là avec nous à Paris, car le public lui a fait un très bon accueil.
D’ailleurs cela se ressent et cela fait plaisir à voir.
Il revient en concert en octobre à Paris et on sera ravi de le revoir.

Puis viens enfin le tour de Royal Republic à 21h15.

Le groupe suédois est très attendu et c’est toujours un grand moment à vivre en live. Ils sont venus défendre leur dernier album « Weekend Man ».

Arrivé tout beau, tout frais, en costard, cravate ou nœud papillon selon, ce qui est sûr c’est qu’ils ont la classe.

« Astronaut » met le public en ebullition qui reprend en cœur le titre.
Adam Grahn raconte un souvenir de son Noël chez son oncle à regarder une vieille VHS d’un Noël 93 ou 94 où il était déguisé en Batman, un enfant insupportable qu’il aurait mis à l’adoption à la place des ses parents, cela pour introduire « Over the top » écrit par lui, composé par lui et chanté par lui (comme il dit si bien).

Sur « Addictive » Jonas rejoint Hannes au micro pour accompagner  en chœur Adam Grahn qui est cette fois à la guitare acoustique (pire piège à filles), chanson totalement décalée.

Sur “Tommy gun”, Adam fait monter une fan pour qu’elle joue de sa guitare (petit moment toujours privilégié) et la laisse repartir en faisant mine de lui faire une bise mais la smack.

Ils se donnent tous tellement sur scène que les chemises sont totalement trempées, ce qui laisse apparaître le tatouage ONE sur épaule droite d’Adam

Avant de finir le show avec “Full steam spacemachine”, ils font une cover de Metallica.
ILs seront de nouveau en concert le 2 décembre au cabaret sauvage.
Et comme à leur habitude, ils serrent les mains, signent les autographes, distribuent setlist, pics et baguettes aux fans. Ils restent un petit moment à remercier le public avant de s’éclipser.

Ce qui est certain, c’est que l’on passe un excellent moment à leur concert, donc si vous n’avez pas pu y aller foncez à leur prochaine date parisienne ou dans votre ville.

On ressort obligatoirement avec le sourire.

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