CHE SUDAKA, la musique latinos aux heures vagabondes

Photographe autodidacte, j'ai commencé gentiment avec un 350D et aujourd'hui d'un 70D.

Etant parti sur Poitiers, grâce à la création de Concertmag, je suis devenu photographe de concerts depuis 3 ans sur la Vienne et les Deux Sèvres.

Depuis un peu moins d'une année, j'ai élargi mon activité photographique et me suis mis à la photographie de portrait avec des shootings mode.

Che Sudaka, la belle surprise de Gençay, a mis littéralement le feu à la scène pour faire danser un public conquis.

Che Sudaka, groupe de rock alternatif latino était donc sur la scène des heures vagabondes à Gençay. A part une écoute sur Youtube, je ne connaissais pas du tout le groupe.

C’est un mélange de Mano Négra et Manu Chao magnifiquement interprété à leur sauce avec leurs titres et à leur manière qu’ils montent sur scène.

Léo, Kachafaz, Sergio et Jota commencent leur concert et la sauce a pris de suite avec le public qui entre soit dans des déhanchés soit en transe à la demande du groupe pour sauter ou taper des mains.

Auteurs de 8 albums, ce quatuor allient et mélange chaque instrument (accordéon, Ukulélé, guitare) à  la précision et nous emmène directement en Amérique du sud avec bonheur (même si le groupe est plutôt d’origine de Barcelone.

Je parle de voyage en Amérique du sud car le nom du groupe rappelle ces pays. Sudakas évoquant les immigrés sud américains de façon péjorative et Che, est un ami, un bon gars. A vous de faire le rapprochement.

C’est donc pour terminer sur un concert de 2 heures où l’on avait l’impression que celui ci avait duré 30 minutes et une phrase qui résumera la soirée “la vida es une fiesta” et ce soir, c’était véritablement la fête pour les 2000 personnes présentes.

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